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Soirée resto dont vous êtes le héros « Les 4 Harlequins » le 12 juin à la Trockette

Vendredi 12 juin • 19h > 21h30 • 8 € • Réservation conseillée

Une fois par mois, c’est vous qui faites la cuisine à la Trockette !
Cette fois-ci c’est Marie et Éric qui partagent la toque. Ils vont concocter pour vous :

• Gaspaccio rouge •
• Rouleau de printemps à la mangue •
• Nid de pâtes de patate douce aux crevettes •
• Sorbet de tomate •

 

Résas : trockette@lapetiterockette.org


Et ce mois-ci, la soirée resto prend des airs de cabaret et vous propose d’assister à deux extraits de spectacles par des compagnies habituées de nos salles de répétition.

L’EXTRAORDINAIRE AURA LIEU

19h30 • Extrait du spectacle de Maureen Esivert et Camille de Courcy

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Dans ce spectacle, plusieurs tableaux se succèdent. Insolence, folie douce et langages du coeur y colorent une poésie chantée et théâtralisée.
Les personnages résonnent de sensibilités tout aussi légères qu’implosives, et portent des regards espiègles, parfois sarcastiques sur le chaos du monde et ses « faims cruelles ». Pourtant pas d’aigreur,ni d’amertume: tout au long de la prestation des deux artistes, on rit, on pleure, on se laisse surprendre par un texte original, riche de rebondissements qui, « comme les lamantins s’en retournent à la source », renoue avec une tradition de poésie chantée et incarnée.
Ces inspirations musicales et poétiques nous rappellent la chanson française néo-réaliste de Barbara, l’univers onirique de Prévert et plus déjanté de Gainsbourg.
Ode à la contemplation et à l’humanité qui reste rivée sur le fait que l’espoir est toujours sûr, on sort convaincu que L’extraordinaire aura lieu.


LALA’TCHATCHE S’INTERROGE SUR SON DÉVELOPPEMENT DURABLE

20h30 • Extrait du spectacle écrit, mis en scène et interprété par Saliame Khéloufi

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Monologue poétique sl’âmé AOC d’une femme qui se raconte et dresse une satyre poétique du monde d’aujourd’hui.
Sur fond musical, Monologue d’une femme AOC* sur une tonalité sl’âmée, elle décrit pas à pas les maux de notre société, le statut de stagiaire, la question de diversité, elle s’en amuse, elle est pertinente dans ses propos, une sorte de satyre poétique du monde dans lequel elle vit, le Slam est une forme urbaine contemporaine, il n’y a pas une façon de dire mais autant qu’il y a d’individus.
La femme Urbaine à son mot à dire, elle est renversante quand elle prend la parole pour accuser, pointer du doigt les injustices dont elle est trop victime, ce solo poétique sl’âme est une tribune ouverte. Les femmes sont presque inexistantes dans les cultures urbaines, c’est pourquoi ce propos prend tout son sens.